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Edito du 1er trimestre : 1re partie
Au départ, il s’agissait simplement d’écrire quelques mots pour la nouvelle année civile. Au fur et à mesure c’est un (long) réquisitoire qui émergeait…
Le texte entier (rédigé initialement au 29 janvier) est publié en trois parties sur janvier, février et mars 2024
Depuis plusieurs années notre pays est tombé bien bas par la volonté d’un petit groupe de personnes ultrariches et ultrapuissantes qui ne nous veulent pas du bien.
L’Union européenne a renié toutes ses valeurs démocratiques en se laissant diriger par une Commission qui outrepasse ses droits. Le document adopté le 22 novembre 2023, « Rapport sur les projets du Parlement européen tendant à la révision des traités » est cohérent avec les coups d’État récurrents de Breton, Borell et surtout von der Leyen (corrompue jusqu’à la moelle et exfiltrée par son propre gouvernement) décidant seule dans des domaines qui ne relèvent pas (encore) de sa compétence, sans qu’aucun gouvernement ne s’en émeuve !
Cette UE qui n’est qu’une prison des peuples, agit uniquement pour le compte d’intérêts industriels transnationaux et contre l’intérêt des populations en nouant des accords commerciaux désavantageux et discriminatoires. L’exemple grec et les accords TAFTA/NAFTA devraient en faire réfléchir plus d’un sur la capacité de "réformer" cette UE…L’UE n’est certainement pas garante de la paix, de la sécurié ou de la prospérité ! Elle est une infecte boursoufflure normative (qui est l’essence même du capitalisme).
Le récent vote du Parlement européen contre la levée du secret des contrats avec l’industrie pharmaceutique et le contenu des échanges sms entre von der Leyen et Bourla sont un crachat à notre visage. Ils exigent que vous soyez entièrement transparents et modériez votre expression (sentez-vous l’odeur de la censure ?) mais eux ne montrent pas l’exemple ! Encore convaincus que ce régime est démocratique ?
Les historiens sérieux ont démontré, par les archives, que le projet dit-européen ne visait qu’à garantir les intérêts capitalistes sidérurgiques allemands et bancaires américains. Une relecture de l’histoire des 100 dernières années devrait nous convaincre que les « libérateurs » ne sont que des bourreaux : seule la couleur des chaînes a changé. Les peuples sont toujours victimes des intérêts militaro-industriels.
Le mur du réel devrait nous déciller les yeux : promotion de la guerre, fiasco de l’euro, inflation et précarité établies en norme.
La suite en février
Article publié le 31 janvier 2024.